Après avoir lu 2066 de Bolano, je me replonge dans le Canto General de Neruda. Je me laisse porter avec plaisir par la grâce et la vigueur de ses mots.
En lisant, j’avais en tête une image qui m’échappait toujours. Je viens d’en retrouver l’auteur, Sergio Larrain décédé en Février dernier.
Elle incarne pour moi le continent perdu de l’enfance.
J’aime sa simplicité et sa douceur.